Juillet 2020. Presque trois ans après qu’une petite graine a été plantée sans mon esprit quelque part dans les montagnes baujues, le chantier de ma tiny house est lancé.

Beaucoup de rebondissements ont eu lieu depuis les premiers traits d’intention mais petit à petit les choses se sont mises en place et l’heure du chantier a sonné !

Pour la première phase des travaux, j’ai posé mes valises à Montemeyran dans la Drome, où l’association Eliomatekou m’accompagne dans ce projet d’auto-construction. Les semaines qui ont suivi ont été intenses, fortes en émotions, en rencontres et en tracas divers et variées.

J’ai documenté les différentes étapes du chantier afin de rendre compte de mes choix techniques ou esthétiques.

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2 commentaire

  1. Merci pour votre article ! Ma tiny house est actuellement mon projet de vie ! Je viens de faire poser mes fenetres par un menuisier challans maintenant je m’attaque à l’isolation des murs. Je pensais utiliser un moyen plus écologique que la laine de verre et partir sur du liège. qu’en pensez vous ? Est ce une bonne idée ?

    1. Bonjour Marine et merci pour votre commentaire,
      Concernant l’isolation, le choix classique des tinystes est le “Biofib Trio”, un mélange chanvre / coton / lin ou alors la laine de bois en panneaux. Le liège est très intéressant mais le prix est exorbitant !! Pour ma part, j’ai laine de mouton en vrac au plancher, doublé de plaques de 2cm de liège, et du biofib sur les murs (8cm) et le toit (10cm).
      Je vous souhaite que du bonheur avec ce projet et cette future vie en tiny !

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